© Micheline Weinstein 
  
    
  
   Courrier 1er novembre 2016
    
  
     
  
  Lectures de fin octobre, la vie, l’éducation, la mort, l’amour, la psychanalyse
        
  
  Aux laïcs, parents, pédagogues,
    agnostiques, croyants et mécréants…
    
  
  
    
    
     
    
  
     
 
    
  “Onze mois plus tard, je découvre presque
    par hasard, avec stupeur, que l'on a laissé sortir ma fille le lendemain alors
    qu'elle présentait déjà une hémorragie. Carole est dans un état végétatif parce
    qu'elle a été victime d'un enchaînement de fautes médicales que l'hôpital
    public a honteusement couvert jusqu'en justice. Aujourd'hui je prends la parole
    pour Carole et pour tous ceux qui se heurtent à cette omerta hospitalière.” • Bernard Elhaik
      
    
  [Avec, dans le corps du livre, une bienvenue
    à Françoise Dolto]
   
  Mardi 08 novembre 2016
  
  Un courrier reçu ce matin nous apprend que le Dr Elhaik et sa famille ont perdu Carole ce w.e. quelques jours après la parution du livre.
    
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  Résumé :
    trame narrative
    
  “Exemple : Pour sa trame narrative,
    Djamila a su mobiliser ses capacités oculo-motives
    afin d’explorer pleinement les gestions statiques et dynamiques de son espace
    graphique, donc utiliser sa mémoire épisodique et procédurale, sans inférer sur
    la morphosyntaxe.
  
  
  Traduction : Djamila a recopié correctement la phrase écrite au
    tableau.”
  
  
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  [Bilingue Français-Italien]
    
  
  
  
  
  Extrait
    
  Amour
    à pleines mains :
  
  
    
  ils étaient parfaits,
  
  
    
le destin jetait l’éponge
  
  
    
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  Homélie du Père Luc
    de Bellescize+, le 23 octobre 2016
  
  
  Intégrale en pièce jointe PDF
    
  
  Extrait
    
  
  
     
  
  “Notre vie intérieure, notre «
    monde » intime, l’histoire secrète des très grands amours, la mémoire
    des blessures qui brûleront toujours, des sacrifices héroïques et des
    combats cachés, des péchés et des pardons reçus, tout cela échappe au
    regard des hommes et même à notre propre regard. « Qui suis-je ? ». « Adam
    où es tu ? » dit le Seigneur au jardin d’Eden (Gn 3,
    9). « Je ne sais pas où je suis… ». « Je me suis caché parce que je suis
    nu ». Il faut avoir « conscience de notre inconscient », pour employer un
    mot de la psychanalyse, de ce que nous ne maitrisons pas ou, dans un autre
    registre, de l’envergure infinie de notre vie intérieure, qui nous
  échappe aussi tant la séduction du mal nous submerge parfois, tant
    l’action de Dieu est plus mystérieuse encore. Tout homme porte une honte
    secrète, sans doute, une détresse cachée certainement, tout homme aussi
    est une « histoire sacrée » dit Jean Vanier. Il faut
    apprendre à voir dans la blessure apparente des êtres l’envergure de leur
    lumière voilée.”
  
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  Freud
    
  
  Zur Geschichte der psychoanalytischen Bewegung
    
  
  [Lecture-traduction en
    cours]
    
  
  
     
  
  
     
